Paradise City : un festival engagé
Autant dans son line-up qu’envers la planète
À 15 minutes de Bruxelles dans une commune retirée de la ville - entre espaces verdoyants et lieux ampli d’histoire - se prépare un événement électro novateur. Son nom : Paradise city. Un petit festival qui n’a d’autre ambition que de vous "vendre du rêve" cet été, comme son nom le suggère.
Pour sa deuxième édition du 23 au 25 juin prochain, l’organisation est centrée autour d’une citoyenneté futuriste alliant éco-responsabilité et programmation house aux accents tantôt indie, tantôt disco-funk.
Composé de 60 artistes venus des quatre coins du monde, le line-up est un melting-pot d’influences bigarrées. Des DJ sets et performances live font s’entrecroiser artistes à la réputation bien installée et grands potentiels à découvrir. Sous la chape du drapeau français Jeremy Underground, Agoria, N’to & Joachim Pastor, Jacques ou encore Lazare Hoche. La scène internationale est dignement représentée par le légendaire Omar S,Smallpeople du label Smallville, Andhim ou encore Âme.
En accord avec ses valeurs de partage et de communautarisme, le festival Paradise city est fort de proposition en matière de petits artistes. L’événement s'investit ainsi dans la scène locale belge et propose un bouquet d’artistes garni par Pierre, Red D, SKY H1 ou encore Chantal. Les découvertes impromptues conviennent elles aussi à ce line-up moderne comme le canadien BWANA, trouvaille du net, et l’italienne Giorgia Angiuli, productrice qui utilise des samples de jouets d’enfants.
Pour embellir cette présence scénique puissante, Paradise City répond avec bienveillance à ses ambitions écologiques, dans un cadre durable et empli d’histoire. C’est au château de Ribaucourt, une demeure seigneuriale du XII ème siècle, que se dérouleront les festivités.
Sur ce site unique, le festival s’attache à des codes éthiques promulgués par une “charte verte” afin de limiter son empreinte carbone. Energie verte, nourriture organique et menu végétariens, prêt de tentes en carton recyclé (et totalement résiste à l’eau, oui) ou encore éco-toilettes : rien n’est mis de côté pour offrir un confort sans culpabilité au festivaliers.
Une prouesse novatrice et dans l’air du temps, qui légitime la concordance entre passer du bon temps - tout en musique et en pleine conscience.
Pour plus d’informations sur le festival Paradise city, ses engagements et le line-up complet, suivez le lien.