Awakenings a réchauffé les New-yorkais

La température qui chute à -6 degrés, les rues de Brooklyn (habituellement blindées) désertes et un silence religieux interrompu par quelques coups de klaxon. Voilà l’environnement dans lequel on s’est retrouvé lorsque Awakenings a décidé de faire ses premiers pas dans la ville de NY.

C’était le week-end le plus glacial de l’hiver New-yorkais…. et pourtant sur la ligne L, en plein centre de la ville, la fête commençait à réchauffer les coeurs. C’est à l’Hammerstein Ballroom de New York que Awakenings a posé ses valises pour recevoir des milliers de fans de techno ou d’underground.

Au programme : Pan-Pot, Julia Govor b2b Kamran Sadeghi, Nicole Moudaber b2b Victor Calderon et pour finir, Ida Engberg b2b Adam Beyer. Avec un line-up pareil, Awakenings avait déjà fait ses preuves sur le territoire américain avant même d’attérir.

Créé en 1997 à Amsterdam, Awakenings a réussi à s’établir comme l’un des labels les plus influents et à sortir des sentiers battus. Aujourd’hui, il s’ouvre à l’international : après l’Angleterre, les Etats-Unis.

Parmi un large choix, c’est donc l’Hammerstein Ballroom qui a eu la chance d’accueillir pour la première fois l’expérience Awakenings. Le label a su tenir ses promesses et rester fidèle à ses fans qui ne sont partis qu’à 6h du matin après une nuit mouvementée. Encore une fois, Awakenings nous a prouvé ses compétences en termes de qualités audiovisuelles.

En plein milieu des vacances et pendant huit heures, les New-yorkais on oublié le froid et le coût de leur retour en Uber pour se concentrer uniquement sur cette expérience exceptionnelle. Awakenings a honoré sa promesse et a construit une relation fiable et durable avec la ville de New-York.

[Photos: Pearcey Proper and Stephen Bondio]