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6 nouveaux talents à découvrir au Pulse festival, par les programmateurs de BNK et EXIL

Tempête techno à Villebon-sur-Yvette les 4 et 5 octobre prochains

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  • 19 September 2019

« Faire danser les foules au rythme des pulsations techno ». C’est de cette volonté, ancrée dans les valeurs musicales du collectif BNK, qu’est né le Pulse festival. Pour sa première édition, attendue les 4 et 5 octobre prochains, 36 artistes techno se relaieront sur trois scènes installées au sein du complexe sportif de Villebon-Sur-Yvette. Le Grand Dôme et les deux chapiteaux extérieurs permettront de recevoir jusqu’à 12 000 festivaliers attendus pour ce lancement. Parmi les belles surprises que réservent l'événement, une collaboration. Celle entre BNK et le collectif parisien EXIL, qui se voit dédié la programmation d'une des scènes.

Pour la première édition, les crews BNK et EXIL s’offrent une programmation “plaisir”. Chaque nom répond aux goûts et aux préférences de tous les membres de l’équipe et c’est en famille qu’est pensée la fête. Un savant cocktail de grands noms, composé du patron de Klockworks Ben Klock, du résident du Berghain Marcel Dettmann et du producteur et collectionneur de vinyles de Minneapolis DVS1. On y retrouve également la promesse française Anetha, annoncée en B2B avec son acolyte Randomer, l’incontournable DJ britannique Dax J et le duo acid techno Boston 168.

Dans cet enchaînement de figures de la scène techno plutôt persuasifs, certains noms plus discrets relèvent le line-up d’un soupçon de découverte. La programmation du Pulse, vouée à l’efficacité, conserve ainsi un aspect défricheur et inattendu en permettant à des artistes émergents de se produire sur une scène digne de leurs ambitions. Qualités de DJs ou belle capacité en studio, l’équipe de programmateurs dévoile 6 étoiles montantes de la scène électronique à découvrir au Pulse festival.

Poison Point

Poison Point, c’est à l’origine un one man-machine. L’homme, c’est Timothée Gainet. Les machines, une ribambelle d’engins composée de boîte à rythme, synthétiseur et micro. Un projet musical en solitaire qui trouve finalement un alter-ego, en 2016. Arnaud Derochefort et ses talents habiles au clavier, aux percussions live et à la programmation rejoignent l’aventure lancée une année auparavant. À quatre mains, Poison Point confectionne un live psychédélique aux sonorités entre EBM et techno. Les chants de Timothée Gainet apportent au tout une atmosphère coldwave peu commune.

Si le live de deux partenaires est un incontournable, c’est sur un format DJ set que BNK les invite à se produire pour trois longues heures d’épopée dans leur univers froid et industriel. L’occasion tout de même de découvrir les dernières sorties du duo comme leur EP Oblivion sorti cet été sur le label Intervision.

Le mot de BNK : « Nous nous sommes arrêtés sur un DJ set pour leur laisser la possibilité de nous faire découvrir de grosses pépites. En parallèle, leurs productions reflètent la musique qui rythme nos soirées depuis plusieurs années maintenant. Nous sommes vraiment heureux de les avoir bookés pour un événement d’une telle ampleur. »

ABSL

ABSL apparaît de plus en plus fréquemment sur les line-up parisiens. Concrete, NF-34, les soirées Fée Croquer, Champs Libre et maintenant BNK : rien n’échappe aux BPM acérés du producteur. Car s'il est un habitué de la fête, voire des DJ sets à rallonge, ABSL est aussi un confectionneur de musique. Une casquette bien portée puisque son morceau ‘Sleepwalker Race’ paru sur l’EP deux titres K, est notamment remixé par le prodige I Hate Models.

Le mot de BNK : « ABSL est un artiste que nous affectionnons tout particulièrement pour ses productions, mais il occupe également une plus grande place dans nos cœurs d’amoureux de la musique électronique pour ses DJ sets sombres et mentaux et pour ses intros plus folles les unes que les autres. C’est un des artistes que j’ai (– Mélanie, attachée de presse) le plus vu jouer à Paris et je n’ai jamais été déçue une seule fois, je pense qu’il va en étonner plus d’un, et j’espère être une nouvelle fois surprise. »

Newa

Newa a déjà eu de multiples occasions de prouver ses talents en studio mais aussi sur scène. Après deux sorties sur le label français Chineurs de techno et la maison madrilène Semantica records, c’est sur Klockworks que la productrice géorgienne fait une apparition cet été avec le vingt-cinquième épisode de la série d’EP Klockworks. Un matériel sonore qui ne manquera pas de faire des dégâts, que ce soit sur les dancefloors de Tbilisi dont est originaire la jeune femme, ou sur la scène 2 du Pulse, dont la programmation est attribuée au crew parisien EXIL.

Le mot d’EXIL: « Newa est une jeune artiste émergente de la scène techno internationale qui commence à se faire une place dans quelques uns des clubs à la plus grosse renommée. Pour faire simple, chez EXIL nous avons envie de faire découvrir des artistes au public parisien. Inviter des gros noms, aussi bien qu'introduire les talents de demain. »

Félicie

Félicie est justement résidente du collectif parisien EXIL. Après avoir écumé les clubs de la capitale, elle s’apprête à enchaîner les dates à l’étranger et partage l’affiche avec Louisahhh, Shlømo et Anetha. Si c’est sur scène qu’elle s’est faite remarquer, avec des sets rudes, froids et dansants, la jeune femme veut aujourd’hui se rapprocher de la production.

​Charles Green

À Brighton, Charles Green est un pionnier de la scène club. Son influence musicale l’a conduit au-delà des frontières de la ville qui l’a vue grandir pour conquérir la capitale londonienne. Une résidence mensuelle aux soirées Jaded du Corsica Studios plus tard, voilà que Charles Green excelle dans un autre domaine : celui de la production. Repéré par Ben Sims, qui se produira le même soir en b2b avec DJ Bone, Charles Green a eu l’opportunité de figurer sur l’une de ses compilations ‘Tribology’ aux côtés de Steffi, Oscar Mulero ou encore Mark Broom.

Le mot d'EXIL à propos de Félicie et de Charles Green : « Ce sont les derniers résidents à être rentrés dans l'écurie EXIL, aux côtés de Remco Beekwilder, Hemka et SHDW & Obscure Shape. Il était normal de les convier sur notre scène anniversaire du Pulse Festival pour fêter fièrement nos 3 ans. On mise sur eux à 300% et on sait qu'ils ont un potentiel de dingue. C'est une manière pour nous de les introduire au public parisien et Pulse est une belle opportunité pour révéler leur talent.»

Andrejko

Andrejko appartient à une nouvelle génération de DJs issus de la scène sombre et suintante de Berlin. Ses sets construits autour d’une techno brute aux breaks anglais l’ont conduit à une résidence dans le regretté club Stattbad, qui était aménagé dans une piscine publique. Là-bas, les closings du dimanche matin joués par Andrejko étaient devenus une institution. Aucunement rattrapé par la nostalgie, l’oiseau de nuit continue encore de semer son aura musicale à travers la capitale, avec une approche qui vise à diversifier une scène berlinoise dense et indomptable.

Le mot d’EXIL: « Andrejko est un artiste que nous avions invité pour notre deuxième anniversaire et dont la performance avait outrepassé nos attentes. Il est extrêmement discret sur la scène électro française, à la manière de Félicie et de,Charles Green, mais nous restons persuadés que ses talents de selectors et sa technicité en djing finiront par briller. »

Le Pulse festival aura lieu les 4 et 5 octobre prochains au Grand Dôme de Villebon-sur-Yvette. Plus d'informations par ici.

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