Elektric Park invite Sven Väth, Popof, Citizen Kain et Catz'N'Dogz sur l'Île des Impressionnistes
Journée techno dans les Yvelines
Chatou est une commune française des Yvelines, proche de Rueil-Malmaison. Un territoire en bordure de Paris qui devient chaque année la terre promise de fêtards franciliens avec son festival Elektric Park. Pour sa 9e édition le samedi 8 septembre, le festival s’installe une nouvelle fois sur l’Île des Impressionnistes, qui tire son nom de son ancienne forte fréquentation d’artistes peintres de la seconde moitié du XIXe siècle. Loin des pinceaux, le line-up de l'ancien Inox festival annonce une nouvelle édition qui fait la part-belle à la techno.
Sven Väth, depuis 1985 dans l’industrie musicale, se produira sur l’une des trois scènes de Elektric Park. En fondant le club Omen à Francfort en 1988, le producteur allemand amène l’acid house et la trance dans sa ville avant de s’en écarter pour rejoindre le mouvement techno. Patron de Cocoon Recordings, Sven Väth est à ce jour considéré comme l’un des artistes les plus influents dans l’industrie de la musique électronique, sur plusieurs générations.
Autre artiste influent sur la scène techno de son pays et présent cette année - le producteur Popof. Dans les années 90, Alexandre Paounov appartient au collectif techno parisien Heretik, connu pour leurs raves parties dans toute l’Europe. Popof a déjà signé plusieurs productions sur le label de Sven Väth Cocoon Recordings en plus de se consacrer majoritairement à son label XXX réservé exclusivement aux productions de Popof et de Noisebuilder, le patron de Junky Robot.
Enfin, la Brésilienne Anna sera également de la partie. Passée en mars dernier derrière les caméras de MixmagTV au festival CRSSD de San Diego, la DJ séduit par des sets techno mélodieux et percutants devenus sa marque de fabrique.
Le line-up de Elektric Park est complétée par un catalogue musical trance et électro qui comptabilise au total 30 artistes.
Retrouvez la programmation complète et toutes les informations par ici.
Photo : © Romain Léger