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Playlist : 100 titres pour illustrer l'histoire du rap anglophone

Replongez dans le meilleur des productions inégalées

  • JAMES KEITH | IMAGE: EBET ROBERTS
  • 22 May 2017
Playlist : 100 titres pour illustrer l'histoire du rap anglophone

L’histoire du hip hop US/UK en 100 morceaux ? Ce n'est pas un vilain exploit. Même si l’on prend une seule track par année depuis 1979, ce sont déjà 38 morceaux qui ne nous laissent pas le temps de potasser les classiques de 1988, 89 ou encore ceux au milieu des années 90. Cela ne nous donne pas non plus une chance de représenter pleinement les anciens enregistrement de Jay Z (un point discutable puisque la plupart de ses versions sont passé au couperet de Spotify), Wu-Tang Clan, Beastie Boys, Dre ou 2Pac, chacun d'entre eux ayant apporté une influence majeure dans au moins cinq ou six époques différentes du rap. Pour cette raison, nous avons décidé de limiter la liste à une piste par artiste, malgré les altérations, les alias et les membres de groupe (alerte : Grandmaster Flash n'apparaît pas sur 'White Lines', c'était un coup de marketing, donc c'est valable). Cela nous a également permis de faire place à quelques artistes anglais : Rodney P, Roots Manuva, Dizzee et Klashnekoff.

Pendant que nous y sommes, versons une larme pour celui qui manque : Double D & Steinski - 1985 : 'Lessons 3: The History of Hip-Hop' était une option très tentante, notamment parce qu’il ajoute une douzaine de titres proto-rap d'un seul coup. Pourtant, cela aurait été la solution de facilité. Une mention spéciale devrait également aller à Queen Latifah (cette époque restera marquée par le Nth degré), Jim Jones, Lil Lord Finesse et bien d’autres. Pour être honnête, plusieurs dizaines d'autres qui ont presque été sélectionnés. Souvent, ils sont passés à la trappe car avoir 15 entrées différentes pour 1988 aurait été tout simplement ridicule. Il en va de même pour les énormes titres des années 90. 'Ready To Die' , par exemple, aurait pu être placé dans la liste des gros hits. D'autres fois, c'est parce que Jay Z, Public Enemy et Beastie Boys doivent céder la place aux artistes mineurs dont les contributions au rap sont tout aussi significatives.

Si ces artistes avaient fait leur chemin, il y aurait une tonne de plus de matériel de Houston, de Memphis et d'Atlanta; du chopped ‘n’ screwed, plus de Kanye, plus de trap, plus de b-boy, backpack, hardcore (mais pas d'horreur ou horrible rap métal). Et, parce que c'est une leçon d'histoire, il n'y avait pas beaucoup de place pour les artistes plus récents, donc 2009 n'est représenté que dans une demi-douzaine de pistes.

Nos excuses présentées, pressez le bouton ci-dessous et plongez dans la section des commentaires pour parler de ma mère.

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